Auteur :
H. S., Samir K.
jeudi 27 juin 2019 13:23
Abdenour Belkheir qui a donné son accord à Said Naouri de prolonger son contrat, avant même de s’envoler à Dubai pour passer ses vacances avec sa petite famille, risque de ne pas revenir. Alors que c’était prévu qu’il rentre au pays en cette fin de semaine, Belkheir a prolongé son séjour aux Emirats Arabes Unis et ce, en raison d’une offre alléchante d’un club des pays de Golf. Un manager veut exploiter la mauvaise situation que traverse le CSC, pour transférer l’attaquant Abdenour Belkheir vers un club des pays de Golf. Le joueur est indécis et songe sérieusement à saisir cette aubaine qui s’offre à lui, pour décrocher un contrat juteux surtout sur le plan financier. La direction du CSC risque de perdre un autre cadre de l’équipe, surtout que c’est le flou total et rien n’est garanti qu’il prolonge son contrat. Belkheir qui a décidé de prolonger ses vacances à Dubai, serait très emballé d’embrasser une carrière professionnelle avec un club étranger surtout des pays de Golf. C’était son vœu après avoir échoué de tenter cette expérience la saison passée, une occasion en or s’offre à lui, pour réaliser son rêve.
Il est sous pression…
Naouri risque de jeter l’éponge
Le directeur général Said Naouri est sous une terrible pression ces derniers temps et ce, depuis l’éclatement de l’affaire de la conversation téléphonique entre Arama et Mellal, puis la sanction infligée au manager général et le membre Souilah, ainsi qu’au club avec cette défalcation de trois points avant même le début de la saison. Il songe sérieusement à démissionner de son poste de directeur général du conseil d’administration, car il ne peut plus supporter cette terrible pression qui pèse sur ses épaules, et les accusations dont il fait l’objet au quotidien.
Les Sanafir lui incombent la responsabilité du retard dans le recrutement
Les supporters sont très en colère contre le directeur général Said Naouri, à qui ils incombent la responsabilité de cette crise dans laquelle s’est retrouvé le CSC depuis cette affaire de conversation téléphonique entre Arama et Mellal diffusée sur les réseaux sociaux. Les Sanafir accusent Said Naouri d’avoir échoué dans sa mission, de cerner cette crise et lui incombent aussi cette responsabilité d’avoir échoué à convaincre les joueurs ciblés de signer au CSC. Alors que les autres clubs ont presque bouclé leur recrutement et s’apprêtent à lancer leur préparation d’intersaison, avec un effectif au grand complet, au CSC le recrutement est au point mort et seul Amokrane s’est engagé avec le club.
Il confie la mission à Lavagne
Face à cette situation de crise et son incapacité de pouvoir trouver un remplaçant à Tarek Arama, après l’échec des négociations avec Laib Salim puis avec Yacine Bezzaz, le DG Said Naouri a chargé le coach Denis Lavagne d’établir la liste des joueurs à recruter. Le technicien français a déjà établi cette liste qu’il a remise aux patrons de l’ENTP dans le but de finaliser avec ces futures recrues et entamer le travail lundi prochain dans de meilleures conditions et avec un effectif au grand complet. Pour éviter la pression sur ses épaules, Naouri a décidé de confier la mission à Denis Lavagne pour le sauver de ce problème dont il s’y retrouve ces derniers temps.
Benhamadi propose une offre alléchante à Lamri et veut le chiper au CSC
Le président du CA Bordj Bou-Arréridj Anis Benhamadi ratisse large sur le marché des transferts et fait de son mieux pour monter une équipe solide et compétitive capable de rivaliser, avec les grosses cylindrées, pour jouer les premiers rôles la saison prochaine. Après avoir engagé Gaâgaâ, Belameiri et Belmokhtar tous ont évolué déjà avec le CSC, Benhamadi veut chiper Sid Ali Lamri le poumon de l’équipe, qui est en fin de contrat. Selon nos sources, le boss bordji a même pris attache avec l’agent du joueur en lui faisant une offre alléchante de 250 millions de centimes par mois, avec une avance de quatre mois sur salaire. Ce qui a fait tourner la tête au joueur qui est désormais indécis quant à son avenir avec le CSC.
Lamri rencontrera pour la dernière fois les dirigeants du CSC ce samedi
Sid Ali Lamri ne veut pas répondre à l’offre de la direction du CA Bordj Bou-Arréridj, et devra tout d’abord rencontrer les responsables du CSC pour la dernière fois, avant de trancher sur son avenir. Libre de tout engagement, le milieu de terrain du CSC qui a rencontré déjà Tarek Arama avant la fin de mission de ce dernier, ne sait à quel saint se vouer. Certes il a donné son accord de renouveler, à une seule condition que ses exigences financières soient satisfaites, mais avec cette offre du CABBA, il sera vraiment difficile à Lamri de résister. Tout devra s’éclaircir ce samedi lors de sa dernière rencontre avec les dirigeants du CSC. La balle est désormais dans le camp de la direction et ce, pour ne pas perdre un pilier de l’équipe.
Il n’a pas perçu 4 mois de salaire…
Zalani espère être régularisé avant la reprise
Le défenseur central du CSC Zalani est très en colère contre la direction du club, suite au retard enregistré dans le virement de son argent. A cause d’un problème administratif, le joueur n’a pas perçu son argent comme d’autres joueurs qui n’ont pas beaucoup joué cette saison mais qui étaient régularisés. Zalani n’a perçu que six mois de son salaire et il attend quatre mois pour être sur le même pied d’égalité parmi beaucoup d’autres dans le groupe. Il espère que sa situation soit réglée avant même la reprise des entraînements prévue le 1er juillet prochain à Constantine. Zalani attend avec impatience que la direction se penche sur son cas et règle son problème d’argent dans les plus brefs délais, pour qu’il puisse entamer la préparation d’intersaison dans de bonnes conditions et avec un moral au beau fixe.
Après avoir perdu plusieurs joueurs ciblés…
Les patrons de l’ENTP décident de renoncer au plafonnement des salaires
Dans un premier temps et comme première décision prise par les patrons de l’ENTP, c’est de ne pas dépasser le salaire de 160 millions pour tout joueur qui s’engagera avec le club, sauf pour certains qui peuvent atteindre les 200 millions. Mais au fil des jours, tous les joueurs ciblés, n’ont pas signé au CSC et ont préféré s’engager avec d’autres clubs qui leur ont offert des salaires consistants, à l’image d’Addadi qui a signé à la JSK, Belameiri qui a rejoint le CABBA, Helaimia qui a préféré opter pour une expérience en Europe en Belgique et autres. Ce qui a donc poussé les dirigeants à revoir leur stratégie en renonçant à cette politique de plafonnement des salaires et ce, pour ne pas encore perdre les autres joueurs convoités et mis sur la liste par le technicien français Denis Lavagne. Puisque selon nos sources, tous ces joueurs ont exigé des salaires qui dépassent les 180 millions de centimes par mois. La direction est appelée à activer avant que ce ne soit trop tard, surtout que l’équipe sera appelée à disputer la Ligue des Champions Arabes la saison prochaine et un renfort de qualité s’impose, pour prétendre à de meilleurs résultats techniques, sinon ce sera la catastrophe et le retour à la case de départ.
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