Auteur :
S. F.
jeudi 11 septembre 2014 01:31
Même si le dispositif mis en place par le sélectionneur français, Christian Gourcuff, était basé sur l’attaque à outrance, la sélection nationale a paradoxalement fait preuve d’une étrange stérilité au cours de ce match. Mis à part le premier quart d’heure du match où Mahrez, Taïder et Slimani ont trouvé le poteau du portier malien, on n’a rien eu à se mettre sous la dent par la suite. Pis encore, la sélection nationale ne s’est procurée aucune occasion franche de scorer en deuxième période. Il a fallu cette balle arrêtée, à la 82’, et une tête d’un défenseur, Carl Medjani, pour que l’Algérie puisse faire la différence au cours de ce match qui se dirigeait vers un score vierge. Et là, il faut dire aussi que l’Algérie avait pleinement profité de l’infériorité numérique du Mali qui, en plus du fait qu’il évoluait à dix, avait enregistré la sortie d’un autre élément qui se soignait derrière la ligne de touche. Pourtant, Gourcuff semblait avoir joué toutes ses cartes offensives au cours de cette partie.
On a sifflé Slimani
Apparemment, une frange du public de Tchaker n’a pas été très tendre avec le centre avant du Sporting Lisbonne. En effet, ces supporters se sont mis à siffler l’ancien attaquant du CR Belouizdad lors de sa sortie à la 79’, lui reprochant certainement de ne pas avoir marqué au cours de ce match.
68’, le public réclame Soudani
Face à la stérilité du secteur offensif de la sélection nationale, le public du stade Mustapha-Tchaker s’est mis à réclamer l’entrée de Larbi Soudani. Les supporters algériens, qui n’ont pas oublié le but inscrit par l’ancien sociétaire de l’ASO Chlef, insistait à le voir sur le terrain. C’était, toutefois, sans compter sur l’avis du sélectionneur algérien qui a préféré renforcer le secteur offensif par l’ancien joueur de l’Inter, Ishak Belfodil.
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