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mardi 03 juin 2014 14:37
bon nombre de journalistes, venus principalement de Belgique, mais également du Portugal et même du Canada, n'ont pu que constater, impuissants, le peu de communication distillé au compte-gouttes par le chargé de communication de la FAF. C'est donc désemparés que ces journalistes venus de loin sont traités de persona non grata aux entraînements à huis clos, et attendent en vain de s’entretenir avec les joueurs. Une incompréhension justifiée car, comme nous le confiera un journaliste belge, pour le stage de leur sélection, tout est accessible, entraînements, entretiens avec les joueurs, l'hôtel où ils résident, tout est mis en place pour faciliter le travail aux journalistes.
Une chaîne de télévision belge mécontente
Une chaîne de télévision belge était même prête à porter plainte contre Match World Group (société responsable presse). La chaîne a payé pour les droits d'interview d'après-match lors de la rencontre Algérie-Arménie, mais la zone mixte ayant été annulée pour des raisons sécuritaires, Match Wold Group et la FAF n'ont pas communiqué de date ultérieure pour ces interviews, ce qui a provoqué leur colère.
David Lehaire, journaliste belge pour le quotidien «L'Avenir» :
«J'ai essayé de contacter le chargé de communication de la fédération algérienne, plusieurs fois, en vain. Je n'ai jamais vu ça de ma vie !»
Young Kruyts, journaliste belge pour SudPresse, nous a déclaré : «Ce black-out n'est pas normal, l'attaché de presse ne facilite pas la tâche aux journalistes. Il y a un manque terrible de communication et d'information concernant l'équipe national algérienne.»
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